Le GIP ESEA en a profité pour présenter non seulement les statistiques d’usages de Krypton et ses enseignements, mais également sa vision de la convergence avec "Krypton Ségur".
Pour rappel, la vague 2 du Ségur "couloir imagerie" intègre deux dispositifs :
- le dispositif n°1 dédié au RIS/SIR (Système d’Information Radiologique) : comptes-rendus d’examen structurés, lien contextuel vers l’examen...,
- le dispositif n°2 dédié au projet de diffusion d’imagerie médicale qui inclut plus de 200 exigences techniques.
C’est justement sur ce dernier point que se sont attachés les échanges.
En effet, alors que les projets régionaux d’échange et de partage en imagerie ont connu un essor important ces dix dernières années, le Ségur numérique, dont l’une des priorités est de faciliter le partage des données médicales au sens large, vient ici proposer un partage national d’imagerie médicale, basé notamment sur l’utilisation de l’Identifiant National de Santé (INS) qualifié dans l’ensemble des structures d’imagerie. Se posent alors deux questions importantes :
- Comment tirer bénéfice des expériences régionales pour les intégrer dans le Ségur ?
- Comment concrétiser la convergence entre les projets régionaux et le Ségur ?
Avec plus de 8 000 accès mensuels aux antériorités régionales en imagerie médicale, Krypton est clairement apparu comme l’un des projets régionaux générant le plus d’usages à ce jour en France. La dynamique régionale Krypton est forte ; l’adhésion massive et les besoins d’évolution sont d’ores et déjà clairement identifiés.
A cette occasion, le GIP ESEA a notamment pu présenter les travaux liés à la convergence entre sa solution et le Ségur. L’approche proposée par l’éditeur, consistant à ajouter les fonctionnalités Krypton à la solution Ségur, a notamment été appréciée tant elle répond aux besoins de convergence. Cette version porte désormais le nom "Krypton Ségur".