Résumé
Voici tout juste 9 mois que le nouveau service régional Krypton d’Accès étendu aux antériorités régionales a été lancé. Il est progressivement déployé par les structures adhérentes, au grès de son intégration à leur DPI (Dossier patient Informatisé), RIS/SIR (Système d’Information Radiologique) ou PACS (pour les structures ayant un PACS Philips).
Quels enseignements tirer de ces premiers usages ?
Texte
- Dès qu’une structure adhérente dispose de cette fonctionnalité et que les autres structures du territoire alimentent Krypton, les usages deviennent réguliers et nombreux. Les recherches d’examens régionaux pour un patient ont lieu de façon quasi systématique car la présence d’examens antérieurs est essentielle pour le suivi de certaines pathologies.
- Les usages ont lieu soit depuis les DPI, les RIS ou les PACS, permettant ainsi un accès aux examens par les cliniciens, radiologues et médecins nucléaires en fonction de la configuration de la structure de santé.
Chiffres clés sur l’accès étendu aux antériorités (janvier 2022)
Texte
- 48 structures ont adhéré à Krypton, soit plus de 110 sites géographiques producteurs d’examens d’imagerie
- 25 structures alimentent l’accès étendu aux antériorités, soit 42 sites géographiques
- le démarrage en mars 2021 concernait 2 structures avec 750 recherches. En janvier 2022, 9 structures ont mis en place cette recherche d’examens régionaux depuis leur DPI, RIS ou PACS et elles effectuent près de 1 800 recherches mensuelles d’examens régionaux (Graphique N°1)
- du 1er au 23 janvier 2022, ce sont déjà plus de 800 examens produits par un site distant qui ont été consultés (Graphique N°3).
En conclusion, grâce à Krypton, l’accès aux examens antérieurs produits sur un autre site pour un même patient devient une réalité en Nouvelle-Aquitaine. Progressivement, les sites producteurs d’examens d’imagerie et de médecine nucléaire néo-aquitains adhèrent à Krypton et partagent les examens produits pour une meilleure prise en charge des patients.